Dans ce jugement, le Tribunal administratif de Toulouse annule l’arrêté du 16 novembre 2020 portant convocation des électeurs de la commune de Vaour, s’agissant d’une élection municipale partielle.
Lire la suite …Dans ce jugement, le Tribunal administratif de Toulouse annule l’arrêté du 16 novembre 2020 portant convocation des électeurs de la commune de Vaour, s’agissant d’une élection municipale partielle.
Lire la suite …Dans cet arrêt, le Conseil d’Etat laisse à l’appréciation souveraine des juges du fond, sous réserve de dénaturation, le point de savoir si un projet de construction respecte l’objectif de mixité sociale auquel est subordonnée l’autorisation de déroger à certaines règles du plan local d’urbanisme (PLU) en vertu de l’article L. 152-6 du code de l’urbanisme.
De plus, il précise la portée de l’article L.600-5-1 du Code de l’urbanisme, en précisant que la mesure de régularisation prise au titre de cette disposition, peut le cas échéant, prendre la forme d’une dérogation aux règles d’urbanisme applicables, sur le fondement notamment des dispositions de l’article L. 152-6 du code de l’urbanisme, à la condition que le pétitionnaire ait formé une demande en ce sens conformément aux dispositions de l’article R. 431-31-2 du code de l’urbanisme.
Lire la suite …Dans le cadre de l’épidémie de coronavirus, l’article 1er du décret du 1er avril 2020 prévoyait , au sein du décret du 23 mars 2020 un article 12-5 qui disposait que : « Jusqu’au 30 avril 2020 : -les soins de conservation définis à l’article L. 2223-19-1 du code général des collectivités territoriales sont interdits sur le corps des personnes décédées ; -les défunts atteints ou probablement atteints du covid-19 au moment de leur décès font l’objet d’une mise en bière immédiate. La pratique de la toilette mortuaire est interdite pour ces défunts « .
Lire la suite …Dans un arrêt du 25 janvier 2021, la Cour Administrative d’Appel de LYON s’est prononcée sur les conséquences de la déclaration d’illégalité d’un Plan Local d’Urbanisme.
Dans cet arrêt du 25 janvier 2021, la Cour a considéré que l’annulation du Plan Local d’Urbanisme de la Commune d’HUEZ pour un motif de fond, à savoir la violation du principe d’équilibre, était bien de nature à rendre inopposable au permis de construire délivré sous son empire les dispositions dudit Plan Local d’Urbanisme et contraindre à revenir à l’application des dispositions du Plan d’Occupation des Sols antérieurement applicable.
Lire la suite …Dans un avis en date du 2 octobre 2020, le Conseil d’Etat vient élargir, à nouveau, les possibilités de régulariser un permis de construire offert par les dispositions de l’Article L. 600-5 du Code de l’urbanisme.
C’est ainsi qu’un vice entachant le bien-fondé de l’autorisation d’urbanisme est susceptible d’être régularisé, même si cette régularisation implique de revoir l’économie générale du projet en cause, dès lors que les règles d’urbanismes en vigueur à la date à laquelle le Juge statue permettent une mesure de régularisation qui n’implique pas d’apporter à ce projet un bouleversement tel qu’il en changerait la nature même.
Lire la suite …La Cour Administrative d’Appel rappelle que les dispositions du Code de l’urbanisme autorisent uniquement la modification des clauses des cahiers des choses qui contiennent les règles d’urbanismes.
Lire la suite …C’est ce qu’a jugé le Conseil d’Etat dans un arrêt du 22 juillet 2020, considérant que l’ordonnance par laquelle le Juge des référés accordent une provision constitue un titre exécutoire, dont le recouvrement peut être poursuivi directement.
La Haute juridiction considère en effet que si les décisions du Juge des référés n’ont pas au principal l’autorité de la chose jugée, elles sont néanmoins, conformément aux principes rappelés à l’Article L. 11 du Code de Justice Administrative, exécutoires.
Lire la suite …Dans un arrêt du 23 octobre 2020 n°425457, le Conseil d’Etat a considéré que, quand bien même une contestation se ferait jour s’agissant de l’autorisation des travaux par l’Assemblée générale de la copropriété, le pétitionnaire-copropriétaire peut déposer une demande d’autorisation.
La Haute juridiction considère en effet que la contestation relative au défaut d’autorisation des travaux par l’Assemblée générale de la copropriété ne saurait caractériser une fraude du pétitionnaire, visant à tromper l’Administration sur la qualité qu’il invoque à l’appui de sa demande d’autorisation d’urbanisme, l’absence d’une telle autorisation comme un refus d’autorisation des travaux envisagés par l’Assemblée générale étant par eux-mêmes dépourvus d’incidence sur la qualité du copropriétaire à déposer une demande d’autorisation d’urbanisme et ne pouvant être utilement invoqué pour contester l’autorisation délivrée.
Lire la suite …L’avocat d’un titulaire d’un marché public a qualité pour représenter son client, nonobstant les mentions contraires figurant dans les pièces du marché.
C’est en ce sens que le Conseil d’Etat s’est prononcé dans un arrêt du 18 décembre 2020, n°427850, rappelant que sous réserve des dispositions législatives et règlementaires, excluant l’application des principes selon lesquels les avocats ont qualité pour représenter leur client devant les administrations publiques, sans avoir à justifier du mandat qu’ils sont prétendus avoir reçu de ces derniers dès lors qu’ils déclarent agir pour leur compte.
Lire la suite …Par un arrêt en date du 17 décembre 2020 n°432561, le Conseil d’Etat précise qu’une résidence étudiante constitue une construction à destination principale de logements.
Dès lors, un permis de construire peut être régularisé en application des dispositions de l’Article L. 600-5-1 du Code de l’urbanisme.
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