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THE BLOG

25
Mai

Logiciel : sanction sur le fondement de la concurrence déloyale et parasitaire

Le Tribunal de commerce de Versailles a par jugement du 11 avril 2018 prononcé une condamnation d’un éditeur de logiciel qui s’est inspiré du design et des fonctionnalités d’un logiciel appartenant à une société concurrente.

Dans cette affaire, la société 3DVIA qui a fait l’objet en janvier 2017 d’une transmission universelle de patrimoine au profit de la société Dassault Systèmes, a développé un logiciel d’aménagement intérieur en 3D dénommé HomeByMe lancé en 2014. La société Wanadev a mis au point un logiciel de même nature en octobre 2013 appelé Wanaplan. Dassault Systèmes était en négociation avec le groupe Adéo spécialisé dans la distribution d’articles de bricolage pour la commercialisation du logiciel HomeByMe.Lire la suite …

25
Mai

Bail commercial : déplafonnement pour modification du loyer au cours de la vie du bail

L’article L.145-34 du Code de Commerce permet le déplafonnement du loyer lors du renouvellement dans l’hypothèse d’une modification notable des éléments mentionnés au 1 à 4 de l’article L.145-33.

Parmi les 4 éléments cités par l’article L.145-33 figurent les obligations respectives des parties.Lire la suite …

25
Mai

La protection de la vie privée face aux fichiers automatisés

Lors des enquêtes, les fichiers automatisés peuvent être d’une aide considérable pour l’identification de l’auteur d’une infraction.

Le principe est simple : l’auteur d’un crime ou d’un délit fait l’objet d’un prélèvement (génétique ou palmaire) qui sera ensuite enregistré sur un fichier national. L’enquêteur pourra ainsi se référer à ce fichier pour identifier la personne recherchée.Lire la suite …

25
Mai

Procès CAHUZAC : une justice à 2 vitesses ?

Jérôme CAHUZAC, ancien ministre du Budget et ancien président de la Commission finances à l’Assemblée nationale, encourait la peine de 5 ans d’emprisonnement et de 375 000 € d’amende, outre les peines complémentaires, pour fraude fiscale, blanchiment de fraude fiscale et déclaration mensongère à la Commission pour la transparence financière de la vie politique.

Condamné en première instance à 3 ans d’emprisonnement ferme, la Cour d’appel de Paris a, dans un arrêt en date du 15 mai 2018, rendu une peine qui peut laisser à penser que les privilèges de nos dirigeants n’ont pas encore été tout à fait abolis. Il n’en est rien.Lire la suite …

24
Mai

AFAC – 19e Colloque national Châlons-en-Champagne

Me FIAT sera présente au 19e Colloque national de Châlons-en-Champagne

 

09
Mai
02
Mai

BAIL COMMERCIAL : DEPLAFONNEMENT POUR MODIFICATION DU LOYER AU COURS DE LA VIE DU BAIL

L’article L.145-34 du Code de Commerce permet le déplafonnement du loyer lors du renouvellement dans l’hypothèse d’une modification notable des éléments mentionnés au 1 à 4 de l’article L.145-33.

Parmi les 4 éléments cités par l’article L.145-33 figurent les obligations respectives des parties.

La modification notable des obligations respectives des parties Lire la suite …

27
Avr

Sociétés / Fiscal : prélèvements sociaux sur les dividendes de SAS, où en est-on ?

Le montage d’optimisation fiscale et sociale consistant à créer une Société par actions simplifiée (SAS) et à rémunérer le dirigeant sous forme de dividendes est aujourd’hui connu et pratiqué. Point sur l’état de la réglementation à ce jour.Lire la suite …

27
Avr

Impayés de loyer, clause résolutoire et rôle de l’huissier de justice

Par arrêt du 21 décembre 2017, un arrêt de la Cour d’appel de Nouméa en date du 15 octobre 2015 a été cassé au visa des articles L.145-41 et L.145-15 du Code de commerce.

L’affaire est simple : un locataire était en situation d’impayés. Le bailleur a voulu mettre en œuvre la clause résolutoire afin d’obtenir par le Juge des référés par une procédure rapide donc, la constatation des effets de cette clause permettant une résiliation du bail immédiate et exécutoire de plein droit nonobstant appel.Lire la suite …

27
Avr

Google condamné à supprimer une fiche Google MyBusiness publiée sans autorisation

Dans son ordonnance de référé du 6 avril 2018, le Président du Tribunal de grande instance de Paris a ordonné à  la société Google LLC. de supprimer, dans les 15 jours à compter de la signification de l’ordonnance, une fiche Google My Business.

Les faits. Dans cette affaire un chirurgien-dentiste a constaté que sur le moteur de recherche Google.fr, lorsque étaient saisis son prénom et son nom, apparaissait une fiche « Google My Business » relative à son activité de dentiste, comprenant notamment l’adresse de son cabinet, ses horaires d’ouverture et des avis relatifs à son cabinet et à son activité. Google My Business est un service proposé par Google qui est un outil de référencement géolocalisé offrant une meilleure visibilité de son entreprise.Lire la suite …